Le gingembre (Zingiber officinale) se distingue par de longues feuilles lancéolées et des fleurs le plus souvent blanches ou jaunes ourlées de rouge. C’est son rhizome (sa tige souterraine) – et non sa racine – qui entre dans la composition de nombreux plats asiatiques. Chaleur et humidité sont nécessaires à son épanouissement : toutefois, en respectant quelques consignes simples, il est possible de le faire pousser sous nos latitudes.
1. Une température de 20 à 25 °C est indispensable à sa croissance, raison pour laquelle il sera le plus souvent cultivé à la maison ou dans une véranda.
2. Au printemps ou à l’automne, remplissez un pot de 30 cm de diamètre d’une fine couche de billes d’argile puis d’un mélange de 2/3 de terreau et 1/3 de sable. Déposez un rhizome (de préférence bio) à la surface, sans l’enfoncer totalement, puis arrosez-le.
3. Placez-le dans un endroit lumineux, dedans (ou dehors si la température le permet), mais en évitant le soleil direct. Après quelques semaines, des pousses vertes feront leur apparition.
L’usage du gingembre est considéré comme « cliniquement justifié » par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour prévenir « les nausées et les vomissements dus au mal des transports et au mal de mer, ainsi que ceux liés à une intervention chirurgicale ou à la grossesse ». La pharmacopée chinoise le recommande également en infusion, pour faciliter la digestion. En revanche, ses propriétés aphrodisiaques vantées depuis l’époque médiévale ne sont étayées par aucune étude scientifique sérieuse…
L’usage du gingembre est considéré comme « cliniquement justifié » par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour prévenir « les nausées et les vomissements dus au mal des transports et au mal de mer, ainsi que ceux liés à une intervention chirurgicale ou à la grossesse ». La pharmacopée chinoise le recommande également en infusion, pour faciliter la digestion. En revanche, ses propriétés aphrodisiaques vantées depuis l’époque médiévale ne sont étayées par aucune étude scientifique sérieuse…