Vercuma, c’est avant tout l’histoire de deux amoureux de montagne et de nature. Il y a 8 ans, Laura et Nicolas Hermant vivent en Colombie. C’est là que naît le projet Vercuma sous son premier nom, La Montana. Laura se passionne pour les plantes et leurs bienfaits et expérimente chaque jour des recettes inédites de cosmétique dans un laboratoire-jardin où le couple distille et transforme les espèces endémiques. Revenus en France, dans le Vercors, ils créent Vercuma pour commercialiser des produits 100 % naturels. De la marque initiale, il reste un attachement profond au naturel et à l’esprit de la montagne. Uma signifie d’ailleurs « sommet » en quechua, et « Verc » fait référence au Vercors, là où Laura et Nicolas ont dû imaginer de nouvelles formules adaptées à la végétation vertacomicorienne, telle l’achillée millefeuille, le plantain ou encore la prêle et l’arnica. « Toute l’expérience acquise en Amérique du Sud nous a été très utile pour concevoir nos cosmétiques ici, précise Nicolas. Certaines de nos compositions auraient nécessité que nous importions des produits, comme l’huile de coco : nous avons tout simplement choisi de faire l’impasse et d’expliquer à nos clients qu’un savon n’est pas obligé de mousser pour être efficace. » Idem pour les émulsifiants, absents des créations de Vercuma. En lieu et place, la marque propose deux produits, une solution aqueuse puis huileuse, formant ainsi mécaniquement une émulsion, grâce au massage. Ingénieux !
À chaque étape de la production, les deux entrepreneurs ont choisi de minimiser le plus possible leur impact sur l’environnement. Ils utilisent par exemple des marmites norvégiennes pour la cuisson de leur savon liquide, évitant ainsi une consommation d’électricité importante. Ils travaillent également avec les exploitants locaux pour se fournir en matières premières : prochainement, une cultivatrice en plantes aromatiques et médicinales (PAM) s’installera juste au-dessus de leur laboratoire.
À chaque étape de la production, les deux entrepreneurs ont choisi de minimiser le plus possible leur impact sur l’environnement. Ils utilisent par exemple des marmites norvégiennes pour la cuisson de leur savon liquide, évitant ainsi une consommation d’électricité importante. Ils travaillent également avec les exploitants locaux pour se fournir en matières premières : prochainement, une cultivatrice en plantes aromatiques et médicinales (PAM) s’installera juste au-dessus de leur laboratoire.